Charte éthique de l’externalisation offshore

La société SCEMI s’engage autour d’une charte éthique de l’externalisation offshore

L’externalisation de services en offshore préoccupe à raison une grande partie des acteurs sociaux en France et en Europe. Cependant, ce que l’on compare souvent aux délocalisations proprement dites peut se révéler être un levier majeur de compétitivité pour les entreprises lorsque celles-ci abordent intelligemment cette stratégie.

La société SCEMI, acteur majeur du conseil en externalisation offshore en France (www.externalisation-offshore.fr et www.scemi.fr) s’engage conjointement avec ses partenaires vers le respect d’une charte éthique de l’externalisation. Selon les dirigeants de SCEMI, l’externalisation doit permettre aux entreprises de rationaliser leurs dépenses et de se recentrer sur leur coeur de métier, avec pour objectif une augmentation de compétitivité, seul levier de la croissance et de l’emploi. Pour Alexandre LEMAIRE, directeur associé de SCEMI, « ce gain de compétitivité ne doit en aucun cas s’effectuer au détriment des hommes/équipes qui produisent, où qu’ils se trouvent !! »

L’objectif de la charte éthique mise en place est donc de garantir à la fois la qualité des prestations effectuées pour les clients (normes internationales de qualité et de gestion de projets : ISO / CMM) mais également le plus grand respect des normes internationales du travail et des salariés.
Cette démarche qualité à pour objectif de démontrer qu’une externalisation réussie doit bénéficier à toutes les parties grâce à un système de partage de valeur.

Intégrer l’externalisation offshore de services annexes à la production dans la démarche des entreprises (développement informatique, call center, saisie de données…etc) est le meilleur moyen de lutter contre les délocalisations massives qui menacent notre économie et nos emplois.